Les innovations ne cessent de se manifester. Le plus intelligent est de savoir les exploiter pour les rendre nécessaire. David Bouniol donne son avis : « quoi qu’il en soit, il faut prioriser la mission principale qui est de donner l’autonomie aux retraités ». En tant que spécialiste dans les résidences pour les pensionnaires, il parle de la situation suivante également : « pour un senior, allumer la télévision ou ouvrir les fenêtres sont nécessaires. Avec l’introduction de la domotique, il n’aura plus à le faire lui-même, ce qui constitue un blocage pour son autonomie ».
Pour Guillaume Lelong : « la technologie doit être utilisée pour faciliter l’aide aux seniors non pas pour faire les tâches à leurs places. Ainsi, il faut se limiter à des accessoires tels qu’une montre connectée pour localiser la personne ou pour qu’elle puisse prévenir ou faire appel à quelqu’un rapidement en cas de besoin, ou bien des capteurs dans le sol pour être informée d’une chute ».
Tout d’abord, l’achat et l’installation des équipements nécessitent un tout autre budget dans un euodia.fr. D’un autre côté, cela aura un effet sur le coût des services. Actuellement, il y a déjà de nombreuses habitations pourvues d’équipements domotiques. Les seniors résidants reçoivent chacun une tablette ou un appareil similaire. Ce qui limite l’élévation des tarifs sur les différents services. S’il y a une hausse des loyers et des autres services, il sera en rapport avec les coûts relatifs à la construction. Guillaume Lelong dit : « il fallait investir dans le domaine dès le début pour éviter de monter les prix par la suite ».
La mise en place des nouveaux équipements et appareils d’innovation correspond en moyenne entre 5 et 10% du coût de construction globale. La caractéristique des équipements seront celles qui impacteront sur le prix de location. La population d’aujourd’hui sont en contact direct avec la technologie, quand elle sera dans la catégorie des seniors, elle aura besoin des mêmes habitudes et nécessités.